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La salle en novembre s’assombrit. Tout sombre dans le gris, le terne, le tendu.
L’élan de septembre n’est plus, les couleurs d’octobre ont passé, et même l’envie d’écrire – d’écrire sur la salle, dans la salle – s’amenuise…
La salle est immense !
laisse une place à l’évocation du métier qui est le mien, qui est riche en fenêtres aussi bien qu'en paroles, et qui m'occupe trop pour ne pouvoir être écarté sans vergogne ni artifice du champ de l’écriture...
La salle en novembre s’assombrit. Tout sombre dans le gris, le terne, le tendu.
L’élan de septembre n’est plus, les couleurs d’octobre ont passé, et même l’envie d’écrire – d’écrire sur la salle, dans la salle – s’amenuise…