Archives de catégorie : 2015
Route, décembre 2015
On a tant bien que mal tenu le fil de ces poèmes routiniers tout au long de novembre, avec des baisses de régime, des éblouissements ponctuels, de petites débâcles, des coups de froid suivis de redoux attendus – … Continuer la lecture
Route, novembre 2015
Cette année novembre arrive à pas feutré, plus coloré, plus doux, plus flamboyant à ses débuts que ne l’a été un octobre assez sombre. Les chrysanthèmes jaune vif qui couvrent les tombes du petit cimetière … Continuer la lecture
Route, octobre 2015
Faire de chaque trajet un poème, ce n’est pas nécessairement faire un poème à chaque trajet. Produire est secondaire, dire n’est qu’un moyen pour quelque chose qui déborde le seul acte littéraire. En un sens il s’agit … Continuer la lecture
Route, septembre 2015
De retour sur la route aux premiers jours de septembre, tout semble assez neuf et lumineux pour que spontanément s’allument les flammèches d’un poème. Je me dis que j’ai assez raconté, que c’en est fini de la … Continuer la lecture
Route, août 2015
La route en août n’existe pas. Je ne la parcours pas, je n’en parle pas…
Route, juillet 2015
On peine à s’arrêter – on a de la peine quand il faut s’arrêter. On aspire au départ, naturellement – et puis, le moment venu, on cherche à prolonger. Voici donc, en guise de post-scriptum à cette année … Continuer la lecture
Route, juin 2015
La route début juin : on roule fenêtres ouvertes, il y a du relâchement et presque de l’insouciance dans l’air, moins de tension, du vent dans les cheveux et du flou dans le champ. Quelque chose de … Continuer la lecture
Route, mai 2015
Comme chaque matin je me remets en route : la route est verte, la route est ouverte, la route est vaste, et belle, et sauvage !
Route, avril 2015
…Puis éclate à l’horizon, écrasée d’ombre cette lueur surnaturelle, et c’est comme une sortie en mer un jour d’orage…
Route, mars 2015
Ce matin le vent claque avant moi la portière et la pluie printanière crépite finement sur le pare-brise. Les averses et le redoux emportent par plaques entières la vieille neige accumulée…