De ce bref mois de neige et de lumière on retiendra ces images et fragments sauvés de la torpeur que les semaines passées à ne pas écrire font endurer, ce poids du temps perdu qui pèse plus que toute la glace accumulée sur le toit du hangar, blesse davantage les yeux que les éclats du soleil excessif de la fin février, et fait dans la mémoire une hémorragie plus navrante que celle du rouge-gorge tué par le chat…