« C’est le mois d’août, le mois où je doute », sans doute, et où j’écris, assurément, dans la tension propre à la fin d’été et au début d’automne, mettant mes pas dans les traces des autres et dans mes propres pas, continuant à creuser avec une obstination accrue mon chemin de mots et de boue, avant que d’aller voir ailleurs, vers les vrais rivages d’un retour en Bretagne, et les autres mots de tous les livres en cours.
Travaux en cours…