Nuit de neige, où je relis et remets au propre ces textes, dont certains avaient d’abord été écrits et publiés sur le site de l’« Atelier géopoétique du Rhône » d’où ils ont été aujourd’hui, à ma demande, effacés.
Tracer, effacer, retracer.
Tout cela n’a de rapport avec aucun dogme, aucun diktat venu d’aucune autorité : c’est sans arrogance, sans prétention autre que d’être tendu vers ce qui m’appelle, ce qui me semble juste et nécessaire.
En toute candeur, peut-être, et en toute liberté.
21 novembre 2015