Août est passé comme un charme, comme un rêve, avec ses rêves et les charmes habituels de l’été finissant & de l’automne recommençant. La maison vide renaît grâce à la pluie, grâce aux enfants, grâce au thé, grâce aux livres, grâce au livre en cours qui l’a peuplée de mots même quand personne ne parlait plus, grâce à la chance, grâce à la vie. Pendant la longue averse je mets en ligne ces traces, pour mémoire, une fois de plus, avec l’approbation sans réserve du vieux poirier dans le brouillard…