Vigie, mai 2009

 

 

 

Peu de traces de ce mois de mai-là, très peu de pages et presque aucune image. Je me souviens que l’on cherchait en vain des signes d’inquiétude (c’est dire si on s’illusionnait) dans une branche cassée ou le frisson passager de l’ombre ; cela sans doute rendait dispensable la collecte des traces…

 

 

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