Les feuillages ont terni, le ciel a noirci, le vent s’est levé, et ce sont, à l’époque comme aujourd’hui (mais lequel ?), aujourd’hui comme demain sans doute, les mêmes images qui reviennent, simplement un peu cruelles d’être ainsi retranscrites après coup dans la conscience des saisons envolées (mais n’en rajoutons pas).