Vigie, septembre 2008

 

Vigieseptembre2008

 

Les feuillages ont terni, le ciel a noirci, le vent s’est levé… et ce sont, à l’époque comme aujourd’hui, aujourd’hui comme demain sans doute, les mêmes images qui reviennent, simplement plus cruelles d’être ainsi retranscrites après coup dans la douleur des saisons envolées (mais n’en rajoutons pas trop, il y a pire je sais bien…).

 

 

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