Archives de l’auteur : Lionel SEPPOLONI
Vigie, septembre 2020
Septembre 2020, sècheresse & averse de neige, le parasol orange est devenu vert, l’enfant entre au lycée et je dépose ici cinq fragments arrachés au courant qui ne disent rien que de très loin et de biais… … Continuer la lecture
Vigie, août 2020
Août est passé comme un charme, comme un rêve, avec ses rêves et les charmes habituels de l’été finissant & de l’automne recommençant. La maison vide renaît grâce à la pluie, grâce aux enfants, grâce au thé, grâce … Continuer la lecture
Vigie, juillet 2020
Juillet 2020. La pandémie continue à rôder dans le monde, en courbes fourbes avec des replis de chat, partout chez elle, tuant les vieux, ruinant les pauvres, ne s’éloignant d’ici que pour sévir ailleurs et mieux revenir … Continuer la lecture
Vigie, juin 2020
Les longues averses de juin ravivent toutes les sensations et l’on s’offre, comme en écho aux présents de la pluie, un lit neuf qui sent le miel, d’admirables perspectives traversées de nuages et d’oiseaux, un bosquet … Continuer la lecture
Vigie, mai 2020
En mai, belles pluies, belles parenthèses, mon jardin s’est épanoui ; je lui ai fait serment de prendre le plus grand soin de lui…
Vigie, avril 2020
Avril 2020. Ce mois de confinement aura permis, parce qu’on vit dans le confort de cette Vallée à l’écart de la terrible crise en cours et parce qu’on a eu soudain plus de temps que d’ordinaire, … Continuer la lecture
Vigie, mars 2020
Notes de ma Maison de l’Alpe Le monde est ainsi fait ; il est difficile d’y vivre, et chacun sent la précarité de sa propre vie, de son habitation. De plus, selon le lieu … Continuer la lecture
Vigie, février 2020
Février, février 2020, fut le mois du vent, du silence, des rêves et des fièvres.
Vigie, janvier 2020
Janvier printanier – un frémissement de vie comme un rêve de marmotte endormie parcourt la montagne et traverse les murs de l’hiver ; ce n’est pas encore l’heure de ressortir du terrier, mais on y songe, … Continuer la lecture
Vigie, décembre 2019
Résumer ne résout rien Avec les longues nuits de décembre que, par peur, on crible de lumières, il paraît qu’une année s’est achevée encore, une ligne de plus sur la liste de cette course … Continuer la lecture


