Archives de l’auteur : Lionel SEPPOLONI
Vigie, été 2016
Quelques bribes d’une sorte de journal de retraite, pas pour se mettre en scène (ou si peu…) mais juste pour ne pas perdre le fil, garder trace, garder le cap, encore…
La route ordinaire
Paru le 1er mars 2017 aux éditions Livres du Monde (Annecy). Proses, poèmes & divers fragments routiniers, avec 13 encres de Macha Poynder. Collection « Mondes ouverts » 14×20.5 cm, 336 pages, 19.90 € ISBN : 978-2-919117-34-5 Disponible auprès … Continuer la lecture
Route, juillet 2016
La route en juillet : forcément brève, bientôt interrompue, faite seulement d’interruptions. Moins de mots, moins d’images, et les oiseaux aussi chantent moins. Quelque chose, cette fois, s’achève pour de bon. On prépare néanmoins ses fruits.
Vigie, juin 2016
Juin. D’abord, les averses, les orages, l’asphyxie et la fin des lilas ; puis tout s’apaise, par la grâce des mots, d’un final réussi, d’un changement de météo ou de molécule allez savoir. On file vers l’été, pas sans … Continuer la lecture
Route, juin 2016
Juin. La fin, dont on voudrait tenter de traire un enseignement ! Les derniers bouquets, avant l’enfournement, l’été. Le temps des roses et des éclairs. Feux nos feux. Pauvres de nous !
Vigie, mai 2016
Jours de mai, jours frileux et venteux. Pendant que les lilas refleurissent, pendant qu’on flâne le long du ruisseau, qu’on regarde les insectes ou qu’on reprend le chemin de la Capitale pour épauler le jeune musicien, des fous furieux apprennent … Continuer la lecture
Route, mai 2016
Je savais que cela arriverait tôt ou tard : l’anicroche, la panne sèche, l’incident, l’accident qui fait que tu te retrouves à piétiner sur la route où tu roulais – et tu t’étonnes alors des distances et … Continuer la lecture
Vigie, avril 2016
Les feuilles des érables font un contraste admirable avec le bleu flou de Belledonne. Toute la Vallée pépie, croasse, chuinte, s’agite… L’enfant, alors, disparaît.
Route, avril 2016
Sur le parebrise opaque, l’impact jaune des premiers pollens…
Vigie, mars 2016
Mars est là, avec sa neige tardive, sa lumière franche, ses clameurs. La Vigie, cependant, est aux abonnés absents, occupée à écrire les pages d’un Almanach routier tourné vers le passé. Pour mémoire, par peur du vide, regret de … Continuer la lecture


