Parmi tous les coins de Vanoise que j’ai eu l’occasion de parcourir, le petit vallon de l’Orgère, avec son refuge si facile d’accès et si agréable, m’est particulièrement cher. Je crois y avoir été si heureux qu’y écrire était alors presque superflu, avant de devenir aujourd’hui, pour cette même raison, difficile, comme il est difficile d’y retourner sans tristesse.
Voici néanmoins quelques fragments (en cours, à compléter).