Archives de l’auteur : Lionel SEPPOLONI
Lorand Gaspar
LORAND GASPAR souvenirs du désert, de Lyon, de ma jeunesse Lorand Gaspar est mort ce 9 octobre, à l’âge de quatre-vingt-quatorze ans, dans l’indifférence médiatique qui accompagne la mort des poètes, et … Continuer la lecture
Vigie, octobre 2019
Octobre lumineux file entre la plume, comme les nuages par grands vents ou comme la voiture grise désormais slalome à travers les prés couverts de coulemelles en emportant père et fils vers un ailleurs … Continuer la lecture
Vigie, septembre 2019
Fragments du Journal de bord de la Vigie du Villard en septembre 2019. Immobile dans l’immensité bleue le vaisseau maintient son cap vers l’automne. Ciel blanc, très lumineux. Le feuillage du tilleul brille, … Continuer la lecture
Vigie, août 2019
J’ai du mal à faire remonter des images de ce mois d’août de l’an 2019, tous les clichés de cette période ayant été perdus. Je sais que j’étais revenu de Munich et que j’avais repris la musique (j’avais donc … Continuer la lecture
Munich, été 2019
Notes de voyage : Munich, été 2019 Un voyage de plus, un voyage encore, avec ce que cela suppose d’agréments possibles et de désagréments certains, de pesanteur à vaincre et de légèreté à atteindre, d’images jetées en … Continuer la lecture
Vigie, juillet 2019
De ce mois-ci je garde un souvenir de venin et de lavande. Je venais d’avoir quarante-quatre ans, « la moitié de la vie » comme disait Michel Leiris à propos de ses trente-cinq ans, avec un … Continuer la lecture
Vigie, juin 2019
À peine moins que juillet je redoute juin, avec ses coups de froid, ses coups de chaud, ses coups de sang, ses roses qui se remettent à saigner, ses pépiements d’oisillons dans l’air piquant et ses … Continuer la lecture
Prérouge, mai 2019
« Fais-moi revenir au monde » (grotte de Prérouge, Bauges) 1. Les noix À cause de la roue qui tourne encore (animée non par l’eau du Chéran mais par un moteur électrique) et à … Continuer la lecture
Vigie, mai 2019
J’ai connu naguère – on s’en éloigne sans oublier – d’étranges étés ; c’est à présent un étrange mois de mai que l’on traverse, un mois de mai paisible et tumultueux qui commence dans la … Continuer la lecture
Notes du Pantanal
Il faut alors revenir (…) à ce courant imprévisible que les choses qu’on aime ont choisi pour nous rendre visite, pour emprunter cet étroit passage, le seul que nous pouvions leur offrir… Nicolas Bouvier, Il faudra … Continuer la lecture