Archives de catégorie : La Vigie du Villard
Vigie, juin 2012
En cet été faste et déjà funèbre j’écrivais comme un fou. L’éloignement terminé je craignais plus que tout de rester enlisé. Comme une barque lancée je poursuivais sur mon erre. Ce fut ainsi un bel été, faste et … Continuer la lecture
Vigie, juin 2011
Il reste peu de traces écrites de ce mois de juin 2011. Le souvenir presque effacé d’une brève averse de neige au premier jour du mois. L’image de deux corneilles qui ont l’air d’attendre sur fond de crêtes … Continuer la lecture
Vigie, juin 2010
Le soir venu je repose le Bayan (ainsi que les oreilles des autres habitants de la maison) pour continuer la mise au propre des carnets du Villard: ces quelques notes répétitives, qui parlent de l’orage, de l’été, des … Continuer la lecture
Vigie, juin 2009
Cet été-là tu écrivais peu. Tu « méditais » beaucoup, avec la fraîcheur et l’enthousiasme des débutants. Porte rouverte tes gonds ne grinçaient plus. Maintenant je revois cet été comme une sorte de très long solstice – tout … Continuer la lecture
Vigie, juin 2008
En ce mois de juin 2015 je poursuis mon voyage à travers le temps et les notes, avec ces fragments de juin 2008. C’était le premier été au Villard. C’était, je sais maintenant à quel point, une période … Continuer la lecture
Vigie, mai 2015
Toutes les fleurs du poirier sont tombées, les oiseaux commencent à se faire plus discrets le matin, et l’on jette vers les crêtes des regards de plus en plus avides…
Vigie, mai 2012
BRIBES SANS TITRES SUR LE CHEMIN DE L’ÉCRITURE Printemps radieux, et le parfum encore léger des lilas au début de leur brève floraison. Aujourd’hui Clément a deux ans. Je m’enferme dans le bureau en … Continuer la lecture
Vigie, mai 2011
(Ces notes de mai 2011, je les relis onze ans plus tard parce que ce mois-là fut, dit-on, jusqu’à maintenant (mai 2022), le plus chaud jamais enregistré. Je ne trouve pas d’autres traces de cet événement météorologique … Continuer la lecture
Vigie, mai 2010
…et puis, en arrière-plan des images heureuses, les nuages noirs de ce mois de mai transi, la roue qui grince, le brouillard, la voix blanche…
Vigie, mai 2009
Peu de traces de ce mois de mai-là, très peu de pages et presque aucune image. Je me souviens que l’on cherchait en vain des signes d’inquiétude (c’est dire si on s’illusionnait) dans une branche cassée ou … Continuer la lecture


