Archives de l’auteur : Lionel SEPPOLONI
Vigie, août 2008
De ce mois d’août je retiens, hors-textes, la venue de Jean-Loup et Martine au Villard et ce pèlerinage si touchant à Lyon au 23, rue Chevreul ; je me souviens aussi des rires de Léo et de … Continuer la lecture
Vigie, août 2015
La lumière descend la montagne. Elle passe les crêtes bleues hérissées de sapins, glisse sur les noisetiers, se faufile entre les pommiers du verger d’en haut, rallume la tête du grand tilleul puis, franchissant d’un bon la combe … Continuer la lecture
Voyage à Éléor…
…pour « revenir au monde » ? La salle est grise comme la cale d’un paquebot, froide et sombre comme une fosse marine. Je la traverse à grands pas pour m’accrocher aux grilles devant la scène, là … Continuer la lecture
Dans l’arène gauloise
Au cœur de la marade je serai ta pleureuse Quand ça rigolera, je geindrai à cœur joie Dans l’arène gauloise où le pathos agace Ceux qui craignent de voir leur propre peur en face Je serai ta … Continuer la lecture
Vigie, juillet 2012
La bourrasque rouvrait le livre oublié sur le chambranle. C’était juillet, juillet 2012. L’aventure recommençait. Où j’allais, je n’en savais trop rien. Je venais de terminer l’écriture de L’éloignement et, momentanément délivré d’une sorte de caillot qui … Continuer la lecture
Vigie, juillet 2011
Écrire depuis la cave établit un filtre supplémentaire avec le monde extérieur. On se tient à l’écart de l’été comme un oiseau nocturne ou un moine dans sa cellule. À l’abri, dans le repli, on s’enfonce, on se … Continuer la lecture
Vigie, juillet 2010
AU BORD DU NANT Cette année-là, cet été-là je n’écris pas – ou seulement de pieux commentaires et de savantes dissertations pour les études bouddhiques que je suis par correspondance. Je consacre toute mon énergie à ces … Continuer la lecture
Vigie, juillet 2009
Un vent chaud s’est levé au dehors, qui traverse la maison et qui donne la fièvre. Réfugié à la cave je tiens compagnie aux faucheux, au bayan et au chat Musique qui me rejoint bientôt. Je continue à fouiller les … Continuer la lecture
Vigie, juillet 2008
Par la petite fenêtre de la cave le jour violent pénètre à peine. Je m’installe face au mur et bien vite je ne sais plus ni l’heure, ni le temps (qui est très chaud, dehors, parait-il – mais ici je … Continuer la lecture
Route, juillet 2015
On peine à s’arrêter – on a de la peine quand il faut s’arrêter. On aspire au départ, naturellement – et puis, le moment venu, on cherche à prolonger. Voici donc, en guise de post-scriptum à cette année … Continuer la lecture


