Archives de l’auteur : Lionel SEPPOLONI
Notes du dernier voyage (mai 2014)
Ces quelques notes griffonnées dans le carnet bleu ont été écrites au présent, mais vécues au passé tant il semblait évident que ce voyage était le dernier. Une fois passée la peur de le voir interrompu – et … Continuer la lecture
Vigie, mai 2015
Toutes les fleurs du poirier sont tombées, les oiseaux commencent à se faire plus discrets le matin, et l’on jette vers les crêtes des regards de plus en plus avides…
Vigie, mai 2012
BRIBES SANS TITRES SUR LE CHEMIN DE L’ÉCRITURE Printemps radieux, et le parfum encore léger des lilas au début de leur brève floraison. Aujourd’hui Clément a deux ans. Je m’enferme dans le bureau en … Continuer la lecture
Vigie, mai 2011
(Ces notes de mai 2011, je les relis onze ans plus tard parce que ce mois-là fut, dit-on, jusqu’à maintenant (mai 2022), le plus chaud jamais enregistré. Je ne trouve pas d’autres traces de cet événement météorologique … Continuer la lecture
Vigie, mai 2010
…et puis, en arrière-plan des images heureuses, les nuages noirs de ce mois de mai transi, la roue qui grince, le brouillard, la voix blanche…
Vigie, mai 2009
Peu de traces de ce mois de mai-là, très peu de pages et presque aucune image. Je me souviens que l’on cherchait en vain des signes d’inquiétude (c’est dire si on s’illusionnait) dans une branche cassée ou … Continuer la lecture
La porte des pins (notes du mont Dondon, mai 2008)
Cinq heures, j’hésite un moment à la fenêtre devant l’averse, puis pars finalement en direction du Champet. Bruine limace orange bouquet de violettes chant du pouillot pente raide et glissante pistes forestières arbres croulant de mousse vert … Continuer la lecture
Vigie, mai 2008
Merci pour les jours heureux Merci pour la joie sans ombre… Jacques Bertin
Route, mai 2015
Comme chaque matin je me remets en route : la route est verte, la route est ouverte, la route est vaste, et belle, et sauvage !
Le Martin-Pêcheur (Les Mottets, avril 2015)
Un foulque glisse à la surface de l’étang, sur laquelle il semble soudain prendre appui, se hisser et, s’enroulant sur lui-même, retomber avec assez de force pour percer dans le miroir de l’eau un petit trou bouillonnant qui se … Continuer la lecture


