Archives de l’auteur : Lionel SEPPOLONI

Bivouac au Granier, juin 2019

    Plus que le vert rutilant de la montagne après l’orage m’étonne la vigueur qui éclate dans tout mon corps sitôt que résonne le martèlement du baton sur les cailloux. Comme la pluie et le soleil en juin mon … Continuer la lecture

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Vigie, mars 2021

          Les ruisseaux se sont réveillés.   La voix la moins claire s’entrelace à la plus clairecomme se tressent leurs rapides eaux.   Pour qu’on me lie avec des liens pareils,je veux bien tendre les deux … Continuer la lecture

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Vigie, février 2021

      C’est en ce mois de Février où la lumière d’hiver redevient peu à peu printanière que le poète est allé au terme de son effacement. Douze ans que l’on guettait le moindre signe de lui : des … Continuer la lecture

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Journal d’une plante carnivore

    Nées de ma rencontre avec le graveur et dessinateur Jérôme Bouchard, ces pages de la Cave et de l’Atelier sont d’abord une libre divagation à travers les images. Peut-être le lecteur y percevra-t-il des échos du Terrier de … Continuer la lecture

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Vigie, janvier 2021

        Janvier 2021 fut le mois de l’arrivée au Villard de Rimski, notre Samoyède, deux ans et demi après la mort de ma chienne Patawa (et alors que j’avais juré ne plus jamais avoir de chien), et … Continuer la lecture

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Vigie, décembre 2020

         Mois le plus sombre et le plus lumineux (même si c’est artificiel) ; mois de solitude (bien peuplée) et d’heureuses retrouvailles (de rares bipèdes, beaucoup de becs-croisés) ; mois de musiques et de silences, de rapprochements … Continuer la lecture

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Vigie, novembre 2020

        Le printemps inversé de Novembre n’est pas nécessairement triste : va dire au héron gris que son plumage est sans lumière ! Parvenu à la toute dernière heure de cette quarante-cinquième entrée dans l’hiver (la treizième … Continuer la lecture

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Une parenthèse en Ardèche (Joyeuse, octobre 2020)

C’est un peu futile, sans doute, ce besoin de quitter la maison pour en louer une autre afin de fêter ailleurs un anniversaire (en l’occurrence le quatorzième de Léo) qu’on aurait aussi bien pu célébrer au Villard, et ceci alors … Continuer la lecture

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Combe Sauvage, 22 ans après

  Retour dans la Combe Sauvage, vingt-deux ans après   Cela fait plus de vingt ans que je ne suis pas revenu dans la Combe – vingt-deux ans, pour être tout à fait précis, que je n’ai pas planté ma … Continuer la lecture

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Vigie, octobre 2020

        Entre les arbres, entre les âges, entre deux averses et trois rayons de soleil, suivre en chantant les sentes rutilantes d’octobre…    

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