Vigie, avril 2013

 

UN GRAND RENARD

 

(…) Maintenant les jonquilles et les narcisses fleurissent dans les jardins. Ciel couvert, temps encore frais, cinq degrés à peine. J’ai le cœur plein de larmes parce que, relisant Proust, j’ai repensé à ma grand-mère. Je me dis que les années à venir vont être dures et froides. Et pourtant quelque chose d’un timide printemps semble palpiter, peut-être à cause de ce grand renard que je croise et que je salue…

10 avril 2013

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