SEPTEMBRE 1997
Échappé d’un carnet je retrouve ce billet daté du 22 septembre 1997 à Pragondran. Tu dis que c’était encore une belle journée, qu’il fait chaud, que tu as l’impression que ta tête va exploser, que tu as un peu le tournis mais que tu te sens « aussi légère que le petit papillon qui vole au loin ».
Je n’ai pas d’autre trace de cette journée-là, oubliée, envolée, de notre jeunesse alpine…
22 septembre 1997