Notes de Madère (été 2013)

DERNIÈRES IMAGES ENLEVÉES À LA VILLE

 

 

À la nuit tombée, le chantier ne s’arrête pas.

 

À la nuit tombée, le quartier de la vieille ville semble moins hostile.

 

Aux rythmes brésiliens ne dansent que quelques enfants, un clochard.

 

Le drame, et la joie à chanter le drame : la chanteuse de fado.

 

Ainsi on ne sera plus jamais jeunes : d’autres le sont, que l’on croise, qui passent comme nous !

 

Les sonos le long du quai, la nuit douce, les lumières : on est de retour.

 

L’amphithéâtre illuminé de Funchal — un décor de fête face à l’océan.

 

La fête continuera bien après notre départ.

 

On arpente les rues nouvelles, familières et déjà de mémoire

 

Le dernier retour en bus; sur ce trajet qu’on connaît, on se sent chez soi.

 

 

9 août 2013

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